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Mon expérience pranique, j’approche du 40ème jour.

Depuis quelque temps je me réveille en pensant à mon enfance, principalement aux moments que je passais chez mes grands-parents. Avec ma famille nous ne partions jamais en vacances. C’était une très grande frustration, surtout lorsque je voyais mes copains, copines partir, et plus encore lorsqu’ils me racontaient toutes leurs aventures à leur retour. Les vacances paraissaient longues sans leur compagnie et j’étais vraiment très heureuse de partir chez mes grands-parents.

Je garde des souvenirs magnifiques de ces longues semaines.
Ils habitaient dans une ferme, vivaient au rythme de la nature. Là-bas il n’y a pas eu d’enfants dans les environs durant des années. C’étaient donc des vacances solitaires mais au combien magnifiques !
Je passais mes journées dehors, à me promener dans la nature, à construire des cabanes, à lire et à me raconter des histoires. J’avais l’impression d’explorer le monde. Je rêvais en permanence en parlant aux arbres, aux fleurs et puis il y avait les animaux. Petite, beaucoup me faisaient peur (je me rappelle de l’oie ou encore des vaches), je leur faisais face avec courage comme une héroïne. C’est là que j’ai développé cette connexion à la vie à la campagne, aux éléments qui m’appellent tant aujourd’hui. Ma grand-mère me faisait comprendre que, si elle aimait les bouquets que je lui offrais, elle aimait aussi voir les fleurs s’épanouir à l’extérieur, fleurir son jardin. La vie était simple. Les journées étaient rythmées par le soleil et les semaines par le camion de la boulangère ou de l’épicière qui claxonnaient dès l’entrée du chemin pour annoncer leur arrivée. Je courais chercher le porte monnaie de ma grand-mère et c’était la fête d’avoir du pain frais, un croissant pour le lendemain matin ou des bonbons. J’accompagnais mon grand-père au champ pour garder les vaches. Il me racontait des histoires en attendant le passage de la micheline qui annonçait qu’il était midi, l’heure de manger notre sandwich.
Ces souvenirs ont toujours été extrêmement présents en moi. Ils sentent le pain grillé dans la cheminée. Ils sont comme des références de bonheur, ceux que je ne peux oublier car ils sont les plus simples et les plus vivants. Ils m’animent et me rendent vivante comme si j’avais expérimenté une vérité que je dois retrouver.

L’expérience du pranisme que je vis actuellement ravive tout ceci, me rapproche de la nature et de la vie de la même manière qu’à l’époque. Une aspiration profonde m’a toujours poussée à retrouver cette vie en contact quotidien et direct avec les éléments. J’ai le sentiment que lors de tous les voyages que j’ai pu faire, j’étais comme cette petite fille curieuse d’explorer, de comprendre les cultures et les différentes façons d’appréhender la vie. Une façon de retrouver une forme de vérité.
Je n’ai pas attendu le contexte du covid pour me demander ce qui est important dans ma vie. Cependant aujourd’hui, une espèce d’urgence me pousse à me demander comment je peux le mettre en place sans compter sur un gouvernement qui n’a visiblement pas le même intérêt que moi pour la vie et les conditions de vie.

Ne plus être dans des contingences alimentaires libère du temps, beaucoup de temps et d’énergie aussi.

Le corps n’ayant plus à digérer les aliments, il semble digérer beaucoup plus vite d’autres éléments comme les souvenirs, les émotions. J’ai le sentiment d’avoir plus de temps, de faire un reset, surtout la nuit. Je dors vraiment bien et paisiblement. C’est le matin que je peux observer ce qui m’habite, le chemin qui semble se dessiner même si je ne comprends pas tout. J’aspire à retrouver cette sérénité de l’enfant qui sait que tout est parfait, sécure et joyeux. Et c’est à moi l’adulte d’aujourd’hui de le manifester, comme à chacun de nous je l’imagine. Nous avons notre monde intérieur à manifester. Ce matin cela me faisait penser à une chaussette que l’on retourne. Montrer à l’extérieur ce qui se trouve à l’intérieur, le manifester au grand jour sans rien rechercher d’autre que Etre ce qui Est.

Ne plus manger de solide me donne le sentiment de “devoir” exister autrement. Je ne sais pas comment l’expliquer. Est-ce que l’on existe d’une certaine manière par ce que l’on consomme ? C’est une drôle de question qui se pose là ? et pourtant tout ce que nous consommons est porteur d’une certaine énergie qui forcément nous influence. Alors ?….
J’ai parfois  également l’impression qu’avec la nourriture je suis détournée d’une forme d’authenticité, ou disons plutôt que cette expérience me force à regarder certaines choses en face. La nourriture serait-elle comme un palliatif pour ne pas regarder certaines vérités, la vie en face…. ?
C’est vrai, réfléchissez à tout ce temps que nous passons à penser à la nourriture, même sans être gourmand ? Nous pensons, “qu’est ce que je vais manger” “A quelle heure je vais me mettre à préparer le repas” et puis il faut penser aux ingrédients, penser à faire les courses, puis faire les courses, se déplacer, les faire, les ramener, les ranger, préparer les repas, mettre la table, s’installer, manger, ranger, nettoyer et puis recommencer à peine quelques heures après. Lorsqu’il n’y a plus tout cela, vers quoi se tourne notre esprit ? grande question n’est-ce pas ?

Je ne peux pas répondre pour chacun. En ce qui me concerne ce n’est pas toujours très confortable bien sûr. J’avance en terrain inconnu, je débroussaille et je m’aventure. Il y a parfois des peurs qui émergent, le changement n’est pas toujours sans impressionner. Rien de précis ne se dégage. En fait, cela conforte plutôt les aspirations profondes que j’ai trainées en moi depuis des années sans vraiment les matérialiser. Est-ce que cela va me donner le courage de passer à l’action ? créer les synchronicités propres à réaliser mes aspirations profondes ?
Je ne prétends pas que ce processus est ce qu’il faut faire. Il ne s’adresse surement pas à tous, en tout cas pour le moment, mais quand on y est, c’est un chemin profondément révolutionnaire, un chemin de vérité.

Côté énergie, à 35 jours je me sens en grande forme. Je n’ai pas de coups de mou et j’assure parfaitement tout ce que j’ai à faire, voir même plus que ces derniers mois. J’ai observé que mes longues balades à pied ne me fatiguent pas du tout, je dirai même, bien au contraire. Le soir, je respecte les signaux et je me couche désormais à des heures plus raisonnables. J’y gagne des nuits beaucoup plus récupératrices. Après avoir fait de longues nuits les 1ères semaines, il semble que je me réveille un peu plus tôt. J’attends de voir semaine prochaine.

Dans mon dernier post je vous disais que je consommais beaucoup de kéfir. Cette semaine, comme c’est le début de la saison, j’y ajoute la sève de bouleau fraiche que je récolte dans mon jardin. Voir vidéo d’explication pour la récolte ICI et celle ci pour les bienfaits ICI.

Si vous en avez la possibilité, je vous incite  vraiment à faire une cure au printemps. En plus de ses propriétés détox, diurétiques et dépuratives, la sève de bouleau soulage les douleurs articulaires grâce à la présence de silicium. La présence de vitamine C et de magnésium permet de réguler le stress et l’humeur. Riche en potassium, elle est bonne pour la circulation cardiaque. Que du bonheur en liquide. La seule cure qui ne fatigue pas, c’est important.
Tout ce qu’il me faut, sans compter qu’il permet d’éliminer les toxines accumulées s’il m’en restait encore.

Côté tentation par contre, cette semaine m’a donné de nombreuses occasions de tester ma détermination.
Une fois de plus ici c’est le mental qui est en cause. Mon corps, lui, ne bronche pas. Je n’ai pas faim. J’en suis la 1ère surprise ! J’ai fait les courses, je cuisine pour ma fille, je me mets à table avec elle et je constate vraiment que mon corps ne réclame rien. Ma tête, elle, ne dit pas la même chose mais elle a ses heures ! Et oui :)….
Je me réveille tous les matins surprise de toute cette affaire autour de la nourriture. Après une bonne nuit je me sens très loin de tout cela. Il n’y a aucun désir, aucune marque quelconque de manque ou d’envie. C’est très serein.
En journée  globalement tout est facile, pas de tensions. hormis lorsque je vais dans les magasins et encore… c’est relatif.
Fin d’après midi par contre, c’est plus difficile. Envie de compenser quelque chose ? Cela me fait penser aux bébés qui très souvent pleurent lorsque la nuit tombe. Est-ce un moment difficile à passer pour nous Etre Humains ? Une petite mort en quelque sorte ? Une journée qui s’achève et qui ne sera jamais plus. C’est le moment où le rythme ralenti, l’heure du bilan aussi, où je me pose et où les tentations se mettent à parler chacune leur tour.  C’est assez drôle quand on y pense, car habituellement je devais y céder sans même m’en rendre compte.

J’ai tout de même eu un moment plus difficile que les autres cette semaine.
Avec ma fille nous sommes allées nous promener au bord de la mer. J’ai eu à affronter les odeurs de gaufres, de crêpes, de frites, de paninis, de plats à emporter de toutes sortes que les gens mangeaient sur les bancs tout le long de la jetée (fermeture des restaurants oblige). Un vrai festival d’odeurs et un supplice par moments. Jusqu’à ce que, une fois de plus, j’accepte de ne plus lutter et de me nourrir de tous ces parfums (plus ou moins subtils il faut l’avouer).
Nous y revenons donc, à la lutte intérieure qui nous rend toute chose bien plus difficile et souffrante au lieu de surfer dans le sens où les évènements de la vie nous poussent, pour notre plus grand bien pourtant.

Pour m’accompagner il y a Grigori Grabovoï et le Yoga
Combien cela m’aide !…..Cela m’offre un outil pour chaque obstacle. Là aussi il y a de l’exigence, beaucoup de travail et de concentration. Je progresse à petits pas, je suis en joie :). Et puis bien sûr le Kundalini Yoga, même si je n’en parle pas beaucoup. En ce moment je travaille la gorge, le lien tête/épaules/cervicales, la communication intérieure (mentale et entre les organes) et extérieure.

Le processus en cours me fait penser à celui qui m’a fait passer au végétarisme.
Cela n’avait pas été une décision mentale là non plus. C’est venu petit à petit. Même si je n’ai jamais été une grosse mangeuse de viande.  J’ai commencé à réduire très sérieusement ma consommation spontanément, à supprimer les aliments un par un jusqu’à ne garder que le jambon. Surprenant en soi car ce n’était pas du tout ce que je consommais le plus. Il s’avère que là aussi, ce qui a été le plus difficile à “lâcher” c’est l’odeur. Longtemps les odeurs du jambon et de l’andouille, ont continué à me faire envie. J’y reste encore sensible même s’il n’y a plus l’envie d’y goûter.
J’ai noté que chaque fois que j’ai repensé à manger, j’ai pensé à un aliment différent.  Il y a eu l’envie de pain, de pâtes, de riz puis les légumes…. Ce qui me surprend c’est qu’il n’y a pas eu le chocolat alors que c’est mon péché mignon. C’est un peu comme faire le deuil de chaque aliment, de chaque goût un par un.

Alors est-ce nécessaire tout ceci ? Pourquoi faire le deuil de ce que l’on apprécie ? Là encore, ce n’est pas un choix mental sinon cela ne tiendrait pas. Tout mon être fait ce choix.  J’expérimente un grand bien être, une extension de conscience. Peut être pour un temps seulement, mais cette expérience me fait grandir, me nettoie à tous les niveaux, m’épure et m’élève.

Voilà, une nouvelle semaine de passée. Je renouvelle mon OUI avec beaucoup d’enthousiasme pour la semaine à venir. J’ignore ce qui m’attend. Par moment je me dis que je vais manger bientôt, c’est ma tête qui le dit. J’ai entendu dire que la faim, la vraie Faim se faisait sentir à 40 jours. J’y suis presque alors je vais voir…. et je vous raconterai.

Bonne semaine d’ici là, portez vous bien. Inscrivez-vous à mon blog, partagez  vos impressions, vos questions, ça peut aider
Je vous embrasse
Catherine

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Au 28ème jour de mon parcours pranique….

Cette semaine j’ai pu observer que je me réveillais l’esprit fixé sur un point, comme en mon centre dans un cube. J’observe que tout est serein tranquille et sans question. Petit à petit, mon esprit se réveille et s’étend autour de ce point et les questionnements, les réflexions apparaissent.

A ce moment de la journée, il n’y a aucune faim, aucune envie.

En journée, depuis la fin des 21 jours, les ressentis sont différents. C’est un peu comme si, depuis la date officielle de fin de processus, un débat avait cours à l’intérieur. Je ressens que je dois plus souvent revenir à mon engagement pour trouver une raison de continuer. La question de reprendre l’alimentation solide, inexistante jusqu’alors, se pose régulièrement alors qu’une partie de moi à décidé de continuer et sait déjà jusqu’à quand. Je le sens.

Ceci veut donc dire aussi, que je sais désormais que je vais reprendre l’alimentation solide à un certain moment. Peut-être différemment mais certainement un peu et pour un temps. Est-ce une pensée pour rassurer mon mental ?

Depuis quelques jours j’ai régulièrement des envies. Non pas réellement de manger mais de ressentir des goûts, des textures. Dans ces moments je ressens une sorte d’ennuie, d’impatience, comme si j’étais en attente que cela cesse. Je commence à me lasser des jus sucrés et dilués, j’aspire à autre chose. Pour cette raison, je me suis remise au kéfir que j’apprécie beaucoup et j’ai préparé une soupe de potiron bien liquide avec du poivre qui satisfait mon besoin de texture.  Je n’arrive pas à répondre à la question sur ce besoin de changement. Est ce un réel besoin ou est ce un programme ? Avons nous naturellement besoin de variété de goût et de texture dans le palais ? Est ce naturel de se lasser ou est-ce un trait de caractère ? Est ce une déprogrammation ? Je ne lutte pas, j’y réponds au mieux en respectant le non solide.
Parfois, je pense à ce que je ferai si je devais manger là maintenant. En réalité rien de particulier ne me fait vraiment envie. Et pourtant, lorsque je faisais des courses hier en vue de la venue de ma fille, je me disais “hum ça oui, ça me fait envie” ou encore “si je lui cuisine ça, je m’en mettrais bien une part de côté pour après…”. J’observe donc aussi un réflexe de stockage, de provisions. Reste de mémoires de nos ancêtres, privés durant les guerres et les disettes, ou est-ce mon corps ou mon mental qui se sent privé ? Car après tout, est ce que j’en aurai envie plus tard, et même vais- je réellement remanger ?

Ecrit comme cela, ça ne fait pas envie et pourtant tout va pour le mieux. Je me sens en pleine forme, je dors bien, j’observe beaucoup de synchronicités. J’apprécie beaucoup l’amélioration du temps qui me permet de jardiner, de prendre soin de mon jardin. C’est un très grand plaisir d’être au soleil, de me nourrir consciemment de toute cette énergie qui m’entoure. J’appréciais déjà énormément ces moments mais c’est différent. J’ai l’impression de prendre plus de place, d’être au centre de tout cela et d’y avoir pleinement ma place. J’essaye de faire chaque chose en me sentant à ma bonne place, sans vouloir autre chose dans le moment. Cela demande beaucoup de présence. C’est aussi pourquoi j’écris et je partage. Témoigner me permet d’être attentive à mes ressentis, de donner libre cours à mes pensées tout en les gardant structurées afin de ne pas m’égarer comme cela peut m’arriver.

J’observe également depuis le début de la semaine une légère baisse de poids. Je suis vigilante, une perte de poids peut être le reflet du fait que je sors du pranisme et tombe dans le jeûne. Je veille donc un peu plus à bien respirer en conscience, peut être avais je un peu baissé la garde…. j’ai immédiatement repris 300 g. Je m’efforce également à m’exposer le plus possible au soleil levant, j’en profite pour sortir marcher de bonne heure avant l’agitation matinale, j’avance face au soleil levant, j’observe le prana, je m’en nourri. Pleine de gratitude , il m’arrive souvent de ne pas vouloir que cela s’arrête 😉

Cette semaine a donc été un peu plus challengeante. Je l’ai terminée en réalisant que le fait d’être chez moi toute la journée y était pour beaucoup. J’avais pas mal de choses à mettre au point, je suis moins sortie, j’ai vu moins de monde. Fin de semaine, j’ai pu constater que voir mes amis, ma famille, sortir modifiait mes ressentis. A l’extérieur, ou avec de la compagnie, le sujet de ce processus passe au second plan. Je n’y pense plus et tout va bien.
Mes réflexions intérieures avec tous ces ressentis, ces questionnements, ces doutes font donc bien partie du processus.

Au 27ème jour, il s’est passé quelque chose d’inattendu…..

Des amis m’ont offert des sushis que j’ai accepté avec plaisir pour ma fille qui arrive. Je les avais mis au frais et à un moment de la soirée, sans réfléchir je me suis levée pour en prendre un.  C’était soudain, directif. Je n’ai pas lutté. J’en ai choisi un tout simple, avec un peu de salade et d’avocat. Je l’ai observé et sans hésité je l’ai goûté. Je l’ai bien mâché, j’ai observé son goût, j’ai noté que j’avais plus de salive que d’habitude. Je comprenais l’intérêt de bien mâcher et je l’ai avalé. Cela a été réellement un moment très étrange, totalement imprévu. Je n’avais même pas faim ! De plus, ce n’était pas, à priori, ce que j’aurai choisi si je devais remanger. Je ne comprenais pas…..

Et très vite j’ai eu l’explication de cette pulsion.
Après avoir avalé ces quelques grains de riz, j’ai été soulagée. Oui soulagée ! J’ai réalisé que durant toute cette semaine de questionnements, se cachait une peur que je n’avais pas soupçonnée ou pour être sincère, très vaguement. Celle de ne plus pouvoir avaler ! Je crois que mon expérience avec ma 1ère gorgée d’eau à la fin des 7 jours à sec, m’avait généré des projections que je n’avais pas vues jusqu’alors. J’ai été soulagée de constater que je pouvais avaler sans avoir mal, sans que cela se bloque quelque part et que sais je encore….. J’ai été apaisée.

Toutes ces pensées, questionnements qui m’encombraient depuis 8 jours se sont évanouis. Ce matin je sais que je peux continuer le processus, du moins pour le moment, à nouveau en paix et sereine sans que cette bouchée de riz remette quoique ce soit en question.

Je vous tiens au courant de la suite. D’ici là, portez vous bien. Partagez vous aussi vos ressentis,  abonnez-vous à ma page et allez voir mes articles précédents si vous les avez manqués.

Bien à vous

Catherine

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Jour 21 de mon parcours pranique.

Me voilà déjà à la fin de ma 3ème semaine d’expérimentation de la nourriture pranique.

La semaine dernière je terminais mon article en disant que je n’avais pas eu véritablement de grosses prises de conscience. Il suffisait de l’écrire…. depuis, un sujet auquel je ne m’attendais pas du tout n’a cessé de me tarauder.

Depuis plusieurs mois maintenant, j’ai l’aspiration de déménager. J’avais même trouvé la maison idéale pour moi. En dehors des critères esthétiques qui étaient tous remplis, elle possédait un jardin, des arbres fruitiers, un puits et une serre, critères incontournables en vue d’une autonomie alimentaire. Cette recherche d’autonomie est primordiale, j’y aspire depuis des années. Un désir de vie plus en lien avec la nature qui se confirme dans mon analyse en Karam Kriya (numérologie yogique) et qui me pousse vers une vie en autonomie et plus en conscience. Cette recherche est comme un carburant, c’est un but profond.

Depuis dimanche soir donc, de nouvelles pensées me viennent, me troublent et me font même presque “peur”. Je m’explique.
Peu après ma mise en action pour acheter cette maison de rêve (j’avais fait une offre) et vendre la mienne, tout s’est mis à aller de travers. Cette maison de rêve pour laquelle j’étais totalement emballée comportait un vice caché (que j’ai découvert à temps. Merci, merci, merci). En parallèle, la vente de ma maison s’est retrouvée bloquée du fait du second confinement, décidé juste après la mise en vente. Enfin, le point de chute que j’avais en cas de vente rapide n’a plus été disponible suite à certains évènements. J’ai donc mis mon projet en veille il y a quelques semaines pour mieux cerner la situation.

Et si mon projet bloquait parce que ce besoin d’autonomie allait bien plus loin que ça ? Oui, et si en continuant dans le pranique, je n’avais plus besoin de ce jardin et de cette serre ?…. Tout ce temps et cette énergie que je gagnerais. Le projet n’est plus le même dans ce cas. Le style de vie que je projetais non plus ! De nombreuses questions me viennent et surtout des peurs très profondes remontent car elles m’obligent à envisager de changer de paradigmes, de changer profondément mes croyances, d’envisager un avenir totalement différent de mes projections.

Mon mental s’est agité. Je n’avais jamais pensé avant de commencer ce processus que je pourrai envisager de continuer au delà des 21 jours. Les conséquences d’un tel choix de vie m’envoient dans tellement de directions !

Il y a tant de questions à propos de ce que cela changerait dans mon quotidien et surtout avec les autres. L’alimentation, la cuisine, les repas représentent une des plus grandes formes de convivialité et de partage. Alors plus de resto, plus d’invitations ? Et je ne mangerai plus ci et cela, je ne connaitrai plus le goût, les saveurs. Fini le plaisir de croquer. Depuis mon 1er épisode pranique il y a 12 ans, je m’étais plusieurs fois posée la question de refaire l’expérience. Chaque fois tout mon Etre se révoltait. Hors de question, je suis un être incarné et la nourriture fait partie des plaisirs terrestres. Je n’étais pas du tout prête.

alimentation pranique

Hier, en nettoyant mon coin potager, la question s’est posée  ” semer ou ne pas semer ? “.

M’est venue alors, l’image d’un monde où les fruits et légumes seraient impérissables, où nous pourrions nous “nourrir” par la contemplation de ce que nous offre la nature. Nous serions alors en accord parfait pour vivre avec les éléments sans nuire à aucune espèce. L’avenir va t’il nous amener à nous alléger pour augmenter notre conscience et transformer ce monde arrivé dans une impasse ? Allons nous tous, petit à petit passer à une nourriture plus légère, subtile, lumière, afin de vivre sur et avec la Terre en totale harmonie ? Est-ce le monde que nous prédit Grigori Grabovoï, celui où par l’évolution constante de notre capacité de concentration et l’évolution globale de la conscience nous deviendrons éternels, et par là même, créerons un monde où animaux et végétaux deviendront eux mêmes impérissables ?
Le fait est qu’il y a aujourd’hui de plus en plus de personnes qui vivent de manière pranique, de façon ponctuelle et répétitive ou permanente. Cela les conduit-elles à une certaine forme d’isolement ? Je sais pertinemment que ce n’est pas le cas mais mon mental ne veut rien savoir.  Je crois que c’est mon inquiétude la plus profonde. Il continue à se contorsionner.

Faute de réponse pour le moment, je questionne mon corps.

J ai grand plaisir à poser mes mains sur ce ventre tranquille, sans remous, à m’y relier. Il m’apaise et me permet tout doucement d’envisager ce à quoi je ne m’étais pas préparée.

J’observe que lorsque je suis couchée, il n’y a pas de doute, pas de manque, une sérénité totale, pas d’envie ni de manger, ni de combler quoique ce soit, pas d’effort en rien non plus. Parfois dans ce calme, pour tester, je lui projette des images de nourriture que je suis censée aimer. Il reste sans réaction.

En journée, c’est un peu différent. Le mental est plus actif. Je réalise à quel point toute notre journée peut être conditionnée par la nourriture, les courses, les heures de repas. Le besoin de se remplir, se combler, se consoler, se récompenser, mais aussi de se retrouver, de partager etc… J’ai pu constater cette semaine quelques “envies” fugaces. Elles durent à peine quelques secondes et semblent liées au fait que je ne sois pas sortie suffisamment, lorsque je me sens un peu seule ou à l’ennui. Pas l’ennui lorsque je suis inactive, non je parle de ces moments entre deux, où l’espace d’un instant j’ai le sentiment d’un vide et où se faufile un sentiment d’inutilité et d’ennui profond ou de découragement. Certainement pour cacher l’émotion qui se trouve là, prête à émerger. Immédiatement le mental s’en saisi pour projeter l’image d’un aliment, d’une saveur. Cela m’est arrivé plusieurs fois cette semaine, une envie de me faire plaisir. Non pas pour manger mais pour le goût, la saveur et je le vis comme un signal que je touche à quelque chose d’important à regarder.

On me pose souvent la question “mais comment tu fais ? tu n’as pas faim ?” Et bien non pas du tout, je n’ai pas faim. C’est une chose assez surprenante et incroyablement apaisante.

A propos du goût, pour parler de choses plus pratiques. Depuis la fin de la période à sec, je bois toutes sortes de liquides. J’aspire à de la variété, surement pour palier à ce besoin de saveurs.

Jus Pranisme

Je bois donc des jus dilués dans de l’eau de coco souvent, des bouillons ou soupes très liquides, du lait végétal. Il s’avère que je supporte de moins en moins le sucré, je dilue de plus en plus les jus de fruits et j’ai une préférence pour les bouillons, tisanes, les boissons tièdes et les textures onctueuses.

En fait, lorsqu’il n’y a pas d’odeurs, il n’y a pas d’envie, et même les envies ne provoquent pas de réaction du corps. Que faire, si ce n’est laisser le processus se dérouler sans projeter, envisager ou calculer…. ?

J’ai également démarré la formation de 9 mois pour évoluer avec Grigori Grabovoï afin d’expanser et structurer ma conscience. Je ressens profondément que ce processus et cette formation sont liés et me portent vers une nouvelle forme d’évolution. D’ailleurs il y a plus de 10 ans maintenant, ma 1ère rencontre avec les travaux de G.Grabovoï ont précédé de peu ma 1ère expérience pranique. Ce n’est bien sûr pas un hasard. Ce travail est tout à fait en harmonie avec ce que je fais déjà . Il va, j’en suis certaine, me permettre de le développer avec beaucoup plus de conscience.

Physiquement tout va bien également.parcours pranique et perte de poids

Mon poids reste stable après avoir perdu les quelques kilos accumulés ces derniers mois. Je suis revenu à mon poids de forme. J’ai même repris un peu, preuve que le prana est en action.

La crise d’eczéma dont je vous ai parlé a duré environ une semaine. Désagréable d’autant qu’il faisait très froid. J’étais toutefois tranquille avec ce processus de nettoyage. J’ai simplement eu à gérer l’inconfort des picotements et des tiraillements. Il m’a semblé de jour en jour effectuer une forme de mue. C’est comme si toute la peau de mon visage et de mon cou était remplacée. La symbolique de cette image est forte pour moi. Ce masque qui tombait millimètre par millimètre, comme un gommage m’a encouragée à patienter le temps que ma peau (et certainement mon Etre à un niveau plus subtile) retrouve sa douceur et sa souplesse.

Ma toux, quasiment disparue, est revenue depuis 2 jours. Je viens de repérer quelque chose à ce sujet 🤔 Je teste pour le moment.

Cette semaine a été facile physiquement, je me sens en pleine forme. Je ne vous parle pas du nombre d’heures de sommeil car je ne dormais déjà pas beaucoup avant. Il est cependant connu que se nourrir de Prana entraine une réduction des besoins de sommeil. Je note en ce qui me concerne que mon sommeil devient bien plus récupérateur, je dors même plus en moyenne. Je rêve à nouveau, même si pour le moment je ne me rappelle pas vraiment de quoi 🙂 . Tout ceci est très apaisant
Enfin je terminerai par une anecdote. Je ne porte que des bijoux en argent et depuis 2 semaines je note une attirance pour les bijoux en or. Cela m’a beaucoup surprise. J’en ignore la symbolique pour le moment mais je suis persuadée que cela a un sens. A voir…. je vous tiendrai au courant 😉

N’hésitez pas à vous inscrire  si ce n’est déjà fait ou à commenter, j’aurai plaisir à vous répondre.

A la semaine prochaine et d’ici là profitez de la vie 🤗

Je vous embrasse

Catherine

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Parcours pranique fin du 7ème jour, retour aux liquides

Et voilà, jour 14 de mon processus pranique. Je ne sais pas pour vous, mais pour moi le temps passe vite !

La semaine dernière je vous ai laissés quelques heures avant ma reprise hydrique (lire ou relire Ici) J’en ri toute seule quand j’y repense…

Les dernières heures ont été très “spéciales”. Mon mental ne cessait de me chuchoter “Vas-y, tu n’es plus à quelques heures près ! Qu’est ce que ça peut faire, personne ne te voit…”. Dur, dur ! j’imaginais l’eau sous toutes ses formes….  Je n’étais pas loin du délire (je plaisante mais à peine 😉 ) J’ai tout fait pour ne pas m’impatienter et tenir mon mental en laisse. Balade, bain et finalement l’heure de ce que j’ai transformé en cérémonial est arrivée. Enfin !

J’avais créé une ambiance douce avec une musique d’eau. Devant moi une bougie et un plateau avec 4 verres d’eau, plate, citronnée, gazeuse et de l’eau de coco à l’ananas. Un vrai festin !

processus pranique Catherine le Hen

Rituel de reprise

J’ai commencé par l’eau plate. Etonnement cette 1ère gorgée que j’attendais avec tant de fantasme n’a pas été agréable du tout. Goût désagréable dans la bouche, j’aurai dû la recracher. Et pourtant, depuis 7 jours, je prenais soin de nettoyer les toxines avec un gratte langue. Lorsque je l’ai avalée, j’ai senti l’eau couler jusque dans l’estomac. Je pouvais suivre parfaitement son parcours. Dès la seconde gorgée, j’ai senti (ou imaginé) l’eau se diffuser à partir du centre de mon corps vers les côtés dans toutes mes cellules. La sensation était très surprenante. J’ai eu froid et j’ai dû me couvrir. En continuant ma dégustation, j’ai observé des douleurs dans la gorge, comme des coupures ou une angine. Je pense que ceci est normal après 7 jours à sec. L’expérience n’était pas exceptionnelle comme je l’avais projetée. Et pourtant, j’ai passé une bonne partie de la soirée à boire, j’étais insatiable. L’eau pétillante est petit à petit devenue une source de plaisir infinie.

A propos de l’eau et de notre consommation

Le lendemain j’avais repris 1,5 kg. Une chose m’a énormément interpellée dans les jours suivants : j’éliminais moins que lors de ma semaine à sec. J’ai vite compris que mon corps stockait à nouveau. J’ai donc fait pause le second jour pour observer. Grosse surprise je faisais avec l’eau ce que d’autres feraient avec la nourriture. Je stockais et buvais sans soif, par habitude ou réflexe. J’ai donc observé à nouveau mon corps, ses besoins et tout s’est rétabli. Aujourd’hui, je n’ai pas envie de boire avant 12-13h et je bois un peu fin d’après-midi. Pour le moment cela me suffit.
Tout ceci me rappelle ce que m’avait dit un de mes enseignants, il y a au moins 15 ans. Nous n’avons pas besoin de boire autant. L’air contient de l’humidité et nous hydrate, de même que les légumes et autres aliments que nous absorbons (s’ils sont bien choisis). Je ne dis pas qu’il faut arrêter de boire, surtout pas ! Seulement de s’écouter. Nous avons tous des fonctionnements propres et des besoins qui varient selon les jours, saisons, activités. Il est évident que si nous chargeons notre corps en nourriture, il aura beaucoup à éliminer et l’eau sera d’une grande aide. De même si l’air est sec,  si nous faisons du sport, vivons de grandes émotions, nous devons veiller à nous hydrater suffisamment. En ce qui me concerne, jusqu’à ces dernières années, je buvais très peu. Le confinement a fait que, comme beaucoup, j’ai modifié certaines de mes habitudes. Bloquée à la maison j’ai bu plus de thé, tisanes…. c’est là que mes problèmes de poumons sont revenus. Le problème n’est peut être pas aussi simple, quoique….. Alors que je n’ai pas toussé une seule fois durant ma semaine à sec, la toux est revenue cette semaine et semble se réguler depuis que je gère ma quantité de liquide.

Concernant la nourriture solide

Côté aliments, tout est facile. Je n’ai pas faim. Je me sens en pleine forme et j’ai beaucoup d’énergie. J’observe par contre que j’aspire à des activités plus calmes,  introspectives, moins agitées. Je peux faire les courses, cuisiner et me mettre à table avec d’autres sans problème. C’est assez surprenant de sentir ce détachement même s’il est évident que je ne souhaite pas me retrouver en permanence avec de la nourriture. Je trouve les plats appétissants, les odeurs me font envie, je m’en nourri et cela s’arrête là. L’autre jour en me baladant, je suis passée près du food truck près de chez moi. Ils y servent des frites maison délicieuses. J’en ai presque oublié que j’étais en processus tellement l’odeur était alléchante. Petite pause, et j’ai pu vérifier que seul mon mental était mobilisé. Mon corps n’avait envie de rien, je n’avais pas faim. Même chose quelques mètres plus loin. Un restaurant ne proposant habituellement que des plats de viande, proposait, à emporter, des lasagnes chèvres/épinards, ce dont je raffole (ou raffolai, je ne sais plus… ). Le temps d’une seconde j’ai envisagé d’acheter une barquette pour la congeler (ah! ce besoin de stocker, de prévoir, d’anticiper…), pour finalement me rendre compte, encore une fois, que seul mon mental était en cause. Je cesse donc de le priver, au lieu de les fuir je plonge dans les odeurs, les parfums de cuisine. Je cuisine pour les autres. Mon mental est content et mon corps n’est pas dérangé.
Mon corps est léger, je le ressens mieux. Mon poids s’est stabilisé vers le 10ème jour. Après avoir perdu en kilos exactement ce que j’avais pris petit à petit ces derniers mois voir années, il est remonté de 2 kg pour ne plus bouger.

Les lavements

Une des pratiques qui m’aide bien également, est le lavement. Je ne vous en ai pas encore parlé et pourtant il est essentiel.

C’est une pratique ancestrale dont le but est d’évacuer les résidus alimentaires, selles, eau, toxines et parfois même, parasites qui stagnent dans la cavité du côlon parfois depuis des années dit-on ! Pratiqué ponctuellement, en respectant des règles d’hygiène, la méthode soutient l’activité normale du côlon et soulage les troubles fonctionnels (constipation, diarrhées, ballonnements).

Ce procédé permet de lui redonner toute sa vitalité tout en stimulant le système immunitaire… En effet, comment envisager de purifier son corps si on ne le nettoie pas ? Ce lavement est une pratique très recommandée pour les jeûnes également et dans le cadre d’une hygiène de vie même si elle n’est pas reconnue par beaucoup de médecins (et même assez décriée si j’en juge ce que je lis sur internet).

Une fois de plus, je ne peux que vous suggérer de faire comme moi : de vous écouter, d’écouter votre corps et de ressentir si cette pratique peut être bonne pour vous ou non. Si vous ne vous sentez pas de le pratiquer seul(e), (voir vidéo explicative ici) se développe maintenant depuis plusieurs années, l’hydro thérapie du colon (ou irrigation du colon). Pour l’avoir testé je peux vous recommander cette expérience, à la condition de ne pas souffrir de maladie de Crohn ou d’hémorroïdes ou autres maladies contre indiquées bien sûr.

Après avoir pris l’habitude de faire des lavements le soir avant de me coucher, je suis passée au matin avant ma douche.  Je l’accompagne de massages. Je me sens ensuite tonique et en pleine forme. Cette pratique va bien au delà d’une libération physique. Rappelez vous  on dit que l’intestin est notre deuxième cerveau. (il pourrait mettre le 1er selon certains).  Il est le siège de rétention de nos émotions.  Notre cerveau et notre système digestif sont étroitement liés. La preuve : des émotions fortes peuvent provoquer une diarrhée ou une constipation. Ce nettoyage peut ouvrir de nombreuses portes, je vous laisse les découvrir.

Tout est leçon et expérience

Chaque jour m’amène son lot d’expériences. Je ne comprends pas forcement tout tout de suite, je ressens cependant le changement progressif vers plus de paix et de sérénité. Je remarque également que ce changement peut impacter mon entourage. Une de mes proches amies m’a dit avoir perdu 800g la 1ère semaine de mon processus. J’ai appris depuis, que cela arrivait, ou que les personnes pouvaient avoir moins faim en présence de personne en chemin pranique.

Avant de reprendre les liquides, j’avais observé que je ralentissais. L’énergie était pourtant bien là mais mes mouvements étaient plus lents, plus conscients même pour les petites choses. Cette expérience m’a fait le plus grand bien car je suis d’un tempérament très actif. A ce jour, je fais bien plus attention à ce que je fais. Je sais où je pose mes affaires alors qu’avant je passais mon temps à les chercher par exemple. De même, concernant les émotions, je me sens moins dans la réaction même si ça n’est pas parfait croyez-moi. J’observe que le fait de ne pas compenser par la nourriture ou la boisson me fait faire face plus rapidement à l’expérience au lieu de la fuir, de faire comme si rien ne s’était passé.
Les synchronicités observées autour de moi avant de démarrer mon processus continuent. J’ai souvent l’impression que tout est leçon et expérience. Lorsqu’un évènement disons “désagréable” se produit, une pause et évaluation de ma part amène des solutions et réparations possibles. Mes sens et mon intuition sont affinés. J’en ai fait l’expérience de nombreuses fois cette semaine jusqu’à un événement quasi magique à propos de ma voiture. S’en suit l’expérience de la Gratitude.

Reste toutefois que ce processus peut également amener son lot de nettoyages émotionnels. Si je ne me sens pas particulièrement secouée par de grosses prises de conscience, je fais depuis 5-6 jours une belle crise d’eczéma dans le cou et sur le visage. Le froid et le port de pulls en laine n’arrange pas le phénomène. Pour faire face, j’accepte et je me magnétise en demandant à prendre conscience du processus de ce nettoyage et de ses causes. Je me connecte au prana, le respire et m’en nourrie avec la conscience que je m’emplis de lumière photonique, d’énergie christique. Ce matin cela va déjà mieux.

Après ces 14 premiers jours je passe une St Valentin dans l’amour de moi, dans ma présence avec ce qui me plaît et ce qui me plaît moins.

Bientôt se posera la question : “reprise ou pas reprise de l’alimentation solide ?”

Je vous en reparle dans une semaine. D’ici là ,portez vous bien et un grand merci pour tous vos messages de soutien, vos partages et vos questions.

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Catherine

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Actualité Blog Expérience pranique

Ma première semaine en parcours pranique

Bonjour à tous. Dimanche 7 février, me voilà arrivée au 7ème jour de mon parcours pranique.

Je voulais commencer par remercier toutes les personnes qui m’ont écrit en soutien, ont pris de mes nouvelles ou montré leur intérêt pour mon expérience. Vos partages me font chaud au cœur. Ils sont la preuve que d’oser montrer ce que l’on est, encourage l’autre à faire de même ou à se questionner. De même, par vos retours vous m’encouragez à me montrer,  à m’exprimer. C’est ce qu’on appelle un cercle vertueux et je trouve cela merveilleux !

Pour en revenir à mon expérience.

Tout se passe à merveille. J’en suis donc à 7 jours sans manger de nourriture solide et sans liquide (en fait je n’ai pas éprouvé le besoin de boire le 1er jour). J’ai entamé ce 1er jour d’une façon très joyeuse et tonique. J’ai vraiment senti que mon corps était content. La 1ère nuit, entre le jour 1 et 2,  j’ai dormi 9 heures. Pour ceux qui me connaissent c’est un exploit !  je dors habituellement guère plus que 4-5 h. Je ne vous explique pas l’énergie que j’avais au réveil ! Cette 2ème journée a été consacrée au jardin. Coupe des arbustes et nettoyage des mauvaises herbes. En faisant ce travail, j’imaginais faire le même à l’intérieur de moi. Un vrai bonheur !

J’ai donc consacré l’énergie de ces 1ers jours à nettoyer ma maison, mon jardin pour être dans un environnement propice. Pas de fatigue, beaucoup d’entrain.

J’ai également mis en pratique la nourriture pranique bien évidemment. J’en profite pour souligner à nouveau que ce n’est pas du jeûne. En effet, vous êtes nombreux à me demander comment se passe mon jeûne. Il est important de comprendre la différence.
Lors d’un jeûne vous privez votre corps de toute nourriture pour le nettoyer à différents étages (physique, émotionnel….). “Le jeûne procure une perte de poids, un décrassage général, l’élimination des déchets venus de notre environnement polluant ou de stimulants accumulés, une peau neuve, et un nouveau tonus physiologique et psychologique ». Pour répondre à des besoins de santé. « Quand le corps est chargé d’humeurs impures, faites-lui supporter la faim : elle dessèche et purifie » conseillait Hippocrate. Le jeûne est souvent conseillé pour ses vertus curatives. On s’allège mais on perd également énormément de choses essentielles pour le corps (vitamines, protéines…) les ressources du corps sont dévalisées. Ce processus ne peut donc être que limité dans le temps, contrairement à la nourriture pranique.

Se nourrir de prana ou nourriture subtile est différent du jeûne. 

Il est question ici de se nourrir différemment. D’ailleurs, sachez le, nous nous nourrissons tous de prana sans le savoir, mais en quantité insuffisante pour subsister tant que notre système cellulaire fonctionne par automatisme. Comment me direz vous ?

Et bien déjà par le simple fait de respirer, une faible partie de prana pénètre dans votre organisme. Nous en absorbons également par notre nourriture. Walter « omsa » Rohrmoser, yogi alpin interviewé dans le film Lumière dit : « Lorsqu’une plante grandit, elle se sert de la photosynthèse, elle métabolise la lumière et les gens mangent cette lumière métabolisée en la réduisant en corpus. En d’autres termes, lorsqu’on mange une pomme de terre, on mange la lumière métabolisée de la pomme de terre. Les selles, les éléments physiques sont éliminés, on garde simplement la lumière. C’est comme si notre estomac faisait de la photosynthèse. » Comme vous le comprendrez, lorsque nous mangeons nous récupérons la quantité de prana de l’aliment végétal ou animal que nous consommons et le reste part tout simplement en déchets.

Ceci vous permettra peut-être de comprendre combien le choix de votre nourriture est important. Plus vous mangerez des aliments sains, frais et vivants plus vous récupérez de prana. Au contraire, plus l’aliment sera pauvre et de mauvaise qualité, moins il y aura de prana. Tout ou presque repart en déchets et votre corps doit donc dépenser une somme folle d’énergie pour la filtrer et l’éliminer. Imaginez donc lorsque vous ingérez des aliments industriels fait de, par exemple, farine blanche, de sucre, d’additifs artificiels….. rien de nourrissant, bien au contraire ! ces produits produisent des colles, alourdissent, encombrent votre organisme qui ne peut rien en faire. Il s’épuise à éliminer, une partie reste stockée dans le corps, provoquant troubles et douleurs. Dans ce cas, le jeûne peut être un atout pour détoxifier l’organisme.

En d’autres termes, se nourrir de prana c’est passer directement se servir à la source et ne plus passer par les aliments pour moins fatiguer son organisme . Nous récupérons ainsi l’énergie consacrée à la digestion qui est l’action dans le corps en nécessitant le plus. Ceci explique donc que les personnes totalement praniques sont moins fatigables, ont plus d’énergie, dorment moins.

Une autre réflexion que m’apporte cette expérience est : “Comment en sommes nous arrivez à tant manger si cela n’est pas bon pour notre corps ?

 La réponse qui m’est venue est d’ordre économique. Notre consommation fait tourner l’économie. Imaginez simplement toute l’industrie qui se cache derrière notre consommation alimentaire. Depuis la dernière guerre, nous n’avons cessé de nous voir proposer de nouveaux produits plus alléchants les uns que les autres. De la “nourriture” de plus en plus transformée, bourrée de conservateurs et autres produits non nourrissants et peut-être même nocifs pour la santé. Les pubs nous créant de nombreux besoins, nous en sommes arrivés à nous nourrir, non pas parce que nous avons faim, mais parce que nous sommes tentés. Et tout est fait pour cela.

Imaginez simplement ce qui se passerait si tout le monde mangeait moins et plus sain. Imaginez ce que cela ferait à l’économie toute entière. Pensez à tous ces produits que vous n’achèteriez plus, à tous les produits annexes dont vous n’auriez plus besoin, à tous les achats liés à la tentation…… De même pourquoi mangeons nous entre les repas ? Compensation, récompense, consolation, remplissage pour ne pas voir ses problèmes ? Une simple question : “Pourquoi éprouvons nous le besoin de nous remplir ? Est ce vraiment le corps qui réclame ?

Je ne vais pas développer plus, il y a trop à dire. Je vous propose cette video de Sadhguru qui exprime, à sa façon, ce que je pense très sincèrement. Lien 

Ne regardant plus la télé depuis bientôt 15 ans j’ai vu mon alimentation se transformer. Avec mes différentes expériences de vie, j’ai compris que me nourrir devait être commandé par mon corps et non par ma tête. Est donc venu, le végétarisme mais pas seulement. Je mange seulement quand j’ai faim. Je ne fais donc souvent qu’un seul repas par jour. Je mange parfois en journée quelques fruits. Si je partage un repas au restaurant ou chez des amis, donc en mangeant plus que d’habitude, bien souvent je ne mange pas pendant un jour. Par contre, si le besoin de manger se fait sentir je m’écoute aussi.

J’en reviens encore une fois à mon expérience. Celle ci me fait me poser beaucoup de questions et m’amène beaucoup de prises de conscience comme vous pouvez le voir. Bien plus que lors de mes jeûnes.

Se nourrir de prana se fait donc par une respiration consciente, par l’absorption de la lumière dans la nature, par la beauté des paysages, l’observation des animaux, en somme de la beauté du monde. Le prana est une énergie lumière que j’ai la chance de voir. Elle flotte dans l’atmosphère. J’ai observé qu’elle peut être plus lumineuse par endroits, notamment à la montagne. En l’absorbant, notre corps transforme l’azote qu’il contient en protéines. Le 1er jour alors que je pratiquais cette respiration, j’ai senti mon corps se réjouir. C’était très surprenant. J’ai visualisé ce prana entrer en moi, je l’ai senti se répartir dans mon corps. Je sentais par endroit des sortes de tourbillons. J’ai vraiment senti que quelque chose se passait. Mes mains et mes pieds se chargeaient d’énergie à en devenir bouillants. Je reviendrai semaine prochaine sur cette partie du processus car durant la semaine qui vient de se passer mon challenge était ailleurs.

En effet, cette semaine était ma semaine à sec. Et pour avoir déjà fait un jeûne sec durant 5 jours (voir ici mon expérience)  je peux dire que c’était différent.

Tout s’est très bien passé et mon 1er verre d’eau est pour ce soir.

Comme je l’ai déjà dit plus haut , les 3 1ers jours rien de spécial. Pas de désirs, ni besoin particulier, j’y pensais à peine. Le soir du 3ème jour les premiers symptômes d’assèchement sont apparus (idem que lors du jeûne). C’était léger, j’ai donc pris un bain et tout s’est apaisé. Le 4ème et 5ème jour, même chose, avec un assèchement de la bouche un peu plus marqué. J’en profitais donc pour faire des nettoyages de la langue à la yogique lors de mes brossages de dents (ce sont des symptômes de détoxification). En même temps, se sont déclenchées de fortes douleurs dans le bas du dos et les jambes, assez pénibles. Cela m’a obligée à ralentir, à prendre plus soin de mon corps par des massages, des bouillotes, plus de repos et  à travailler sur le transgénérationnel. Tout à disparu au bout de 2 jours.

Cette période sans eau a littéralement transformé mon rapport à l’eau ! J’en suis totalement émerveillée. J’ai vu, au fil des jours, mes sensations se développer en me lavant les mains, en passant mon visage et mes lèvres sous le robinet pour m’hydrater. Ce n’était plus de l’eau, mais un élément qui me voulait du bien, qui me faisait un bien fou. Je la ressens aujourd’hui comme une amie. Chaque gouttelette est comme un éclat de lumière vivifiant. Mes mots sont incapables de traduire ce que je ressens.

Le matin, je pratique la douche froide ou Ischnaan en yoga. Là aussi je sens mes sensations se développer. Hier j’ai eu la surprise d’avoir le ressenti que tout mon corps buvait l’eau par chacune de mes cellules, c’était magique. Ces douches sont un plaisir sans cesse renouvelé, je sens mon corps tout entier participer au processus. Je vous écrirai bientôt un article à ce sujet car Ischnaan est un processus thérapeutique très intéressant.

Depuis hier, 6ème jour, l’envie de boire devient de plus en plus forte. Je pense qu’une partie est d’ordre psychologique. La dernière fois, je m’étais arrêtée le soir du 5ème jour. Cette fois, j’étends  la limite et il y a quelques résistances. Peut être aussi parce que hier j’avais un atelier au cours duquel j’ai beaucoup parlé, ma bouche était terriblement sèche. J’ai donc pallié à ce problème en m’hydratant les lèvres et en me passant régulièrement la bouche à l’eau citronnée. J’avoue que j’ai dû parfois m’accrocher bien fort à mon engagement pour ne pas avaler,  ne serait que quelques gouttes 🙂 .

Cette notion d’engagement est très importante. Elle nous permet de faire face au mental, de résister à tous ses messages de tentation. Il n’aime pas ce changement que nous avons décidé en accord avec notre corps (accord indispensable).

Ohhhh, j’allais oublier ! Je vous avais dit que j’avais un problème aux poumons, aux bronches pour être plus exacte. Assimilé à de l’asthme allergique, je toussais à longueur de journées depuis 1 an. La cause venait de mucosités liées à l’eau que mes poumons n’arrivaient plus à gérer. Et bien, j’ai le plaisir de vous annoncer que je ne tousse plus. Tout s’est calmé dès le 1er jour, et la toux s’est arrêtée entre mardi et mercredi. J’ai encore quelques mucosités, cela m’a donné du courage pour tenir jusqu’au 7 ème jour. Je me sens  vraiment bien. Cette toux permanente me gâchait la vie et m’épuisait. C’est une magnifique satisfaction.

J’ai également ressenti un peu plus de fatigue aujourd’hui. Le besoin d’eau se fait réellement ressentir. J’ai commencé à délirer sur le festin d’eau que j’allais me faire ce soir en visualisant de l’eau plate, de l’eau citronnée, de l’eau pétillante, de l’eau de coco. Je me demandais laquelle j’allais choisir… je m’imaginais faire une overdose d’eau. C’est un comble, moi qui avait du mal à boire suffisamment d’eau plate ! 

Bref c’est pour ce soir, je pense que cela va être un grand moment.

Je vous raconterai cela dans une semaine. 

D’ici là n’hésitez pas à aller de vos commentaires, cela m’encourage. Et pensez à vous abonner pour être averti(e)s de la publication de nouveaux articles. 
Bises à toutes et tous et prenez soin de vous
Catherine

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Se nourrir autrement et en conscience. L’aventure pranique

Aujourd’hui, lundi 1er février 2021 est un jour particulier pour moi. J’entame un processus pranique. Pour ceux qui ne connaissent pas le pranisme encore appelé respirianisme, il s’agit d’arrêter l’alimentation solide pour se nourrir de lumière encore appelé Prana. ll ne s’agit pas de ne plus se nourrir car le corps ne peut survivre sans nourriture ! Il s’agit de se nourrir différemment en prenant l’énergie dont on a besoin directement à la source sans avoir besoin de consommer des éléments solides. Le pranisme est donc différent du jeûne !
Se nourrir de prana n’est pas un miracle, c’est une connexion avec cette puissance supérieure que l’on appelle Dieu. Se libérer des nourritures solides, c’est ouvrir la voie à la réalisation de notre véritable potentiel humain.
Peut-on survivre sans prendre de nourriture ni d’eau pendant des semaines, des années voire des décennies? Pour en savoir plus je vous recommande le film “Lumière” enquête passionnante et intrigante autour du monde. Il explore non seulement la connaissance issue des traditions spirituelles asiatiques, mais dévoile aussi les derniers modèles d’explications tirés de la physique quantique.
Sans promouvoir le « Respirianisme », ce documentaire propose une vision alternative de nos besoins. Serait-il alors possible de vivre autrement ? Lien vers le film 

Pour en revenir à mon expérience personnelle, j’ai déjà vécu une expérience pranique quasi spontanée en 2012 (Tiens ! année miroir ;)). J’étais à cette époque dans une des plus profonde période de transformation personnelle que j’avais vécue jusque là. En arrêt pour des problèmes de dos, je ne tenais plus en position assise ou allongée. Me restait la marche, seul moyen de me soulager. J’ai donc à cette période passé mes journées entière dans la nature, à marcher seule. Au fil des journées j’ai observé différents changements lorsque j’étais à l’extérieur, au niveau des couleurs, de la lumière, j’ai commencé à voir le prana dans l’air, l’aura des arbres. J’avais depuis un moment observé des changements alimentaires se mettre en place. Déjà végétarienne, mon corps ne voulait plus des oeufs et de certains autres produits. En parallèle, un processus de nettoyage émotionnel s’était également déclenché. A cette époque je ne connaissais pas vraiment le pranisme, j’ai donc observé, laissé faire le besoin de me défaire de nombreuses dépendances. C’est à ce moment là également que j’ai décidé de retirer les lunettes que je portais depuis mes 14 ans. Ma vue s’est considérablement améliorée, mon ophtalmologue en avait été stupéfaite.

Cette décision de renouveler mon expérience n’a rien d’une décision mentale. J’ai à de nombreuses reprises repensé à mon expérience de 2012 qui avait marqué un grand tournant dans ma vie puisqu’avaient suivi énormément de changements existentiels. Je me suis plusieurs fois demandé si je devais refaire consciemment le processus et chaque fois la réponse était négative, je ne sentais pas mon corps prêt à recommencer même si j’ai par contre fait de nombreux jeûnes. Et puis, depuis quelques mois, le pranisme recommençait à me tourner autour par de nombreuses synchronicités. Les conditions de vie que nous subissons actuellement m’ont donné à réfléchir au sujet, je l’ai laissé se rapprocher de moi. Et puis, en ce début d’année, après mon anniversaire, cela est devenu une évidence.

Restait à me décider réellement, et surtout à m’organiser car le message était on ne peut plus clair, je devais faire ce processus en février, en mars c’était déjà trop tard ! Ayant déjà manqué en novembre, (du fait du confinement,) la préconisation de mon âme de faire une retraite dans le silence  (c’était presque pareil du coup mais pas tout à fait quand même) je me suis très vite décidée en choisissant cette fois d’être accompagnée afin de gérer les aspects émotionnels. J’ai finalement choisi un groupe qui fonctionne quotidiennement en autonomie mais avec des échanges hebdomadaires. J’avoue que depuis un an avec le COVID les besoins d’échanges sociaux deviennent vitaux même si je suis à la base une grande solitaire.

Restait l’organisation. J’avais prévu de passer le dernier week-end de janvier avec mes enfants et leurs conjoints, fête qui avait été remise plusieurs fois, encore du fait des confinements …. Il était donc cette fois hors de question d’annuler d’autant qu’un nouveau confinement nous pendait au nez ! La préparation préalable avec réduction de l’alimentation et le passage au liquide n’était pas envisageable durant le week-end. Je me suis donc servie de mon expérience du jeûne pour vivre cette étape dans mon corps, par la pensée, en parlant à mes cellules. Enfin, hier soir je n’ai pas mangé, bû simplement une tisane et décrété à toutes mes cellules que le processus était lancé.

Aujourd’hui je vais donc cesser toute alimentation solide, certainement boire un peu dans la journée pour passer à une suppression également des liquides pour le reste de la semaine.  C’est mon choix et pas du tout une obligation puisque durant tout le processus il est possible de consommer à volonté tout ce qui est liquide. Cette fois, il s’agit d’écouter les besoins de mon corps.  Je souffre depuis quelque temps d’un problème aux poumons sous forme d’asthme. J’ai une mauvaise gestion de l’humidité dans mon corps et je pense qu’une forme “d’assèchement” pourrait être une bonne chose pour laisser mon corps souffler un peu car je n’en peux plus de la toux provoquée par les mucosités. De plus, le temps étant très très humide, je pense que cela va faciliter l’arrêt des liquides. L’acupunctrice qui me suit était peu favorable lorsque je lui ai parlé de mon projet pour finalement après réflexion se ralier à mon avis et m’accompagner dans ma démarche.

Ce processus va être un processus de transformation sur tous les niveaux ou plans de mon existence. Je sens profondément que c’est exactement le bon moment. Je suis en année personnelle 7. Ce calcul se fait en numérologie. Si vous êtes intéressé (e) pour en savoir plus je vous invite sur  le site “libère ton potentiel” de mon amie Catherine Brunet.  Les maîtres mots de cette année sont spiritualité, repos, santé. A ce stade, il nous est demandé de spiritualiser notre vie pour préparer la mise en place de nouveaux projets, de mettre de la compréhension dans les situations de vie, (le contraire amène des problèmes de santé) avant de passer à l’étape suivante. C’est exactement là où j’en suis: réfléchir à ce que je peux mettre en place pour améliorer à partir de l’année prochaine mes situations de vie. Les temps particuliers que nous vivons, renforcent ce besoin et pas seulement pour moi mais pour chacun. Le prétexte du Virus pousse chacun de nous à réfléchir à la vie que nous voulons pour nous mais également au monde que nous souhaitons. Nous sommes face à tous les possibles, alors il y a des choix à faire, des comportements à modifier, des rêves à nourrir, des aspirations à assouvir…..

En parallèle de ce processus je travaille tous les jours depuis plus de 2 mois avec le programme basé sur le livre « Exercices de concentration et d’expansion de la conscience » sur 31 jours de Grigory Grabovoï (formation de Sciences of Eden)
Ce livre a pour objectif de nous aider à structurer notre conscience au fil d’exercices de concentration que l’auteur nous a transmis pour chaque jour du mois. La structuration de notre conscience nous permettra de devenir des êtres humains responsables de nos pensées, de nos paroles et de nos actions. Vous comprendrez que par la puissance de notre pensée créatrice, nous sommes capables d’harmoniser ou de manifester n’importe quel événement bénéfique pour nous et pour tous, dans notre réalité. Ainsi, en apprenant à gérer notre réalité par nous-mêmes, nous évoluerons vers une meilleure santé et une harmonisation de tous les domaines de notre vie, et nous pourrons également contribuer à l’élévation de la conscience collective.
Ces exercices peuvent également nous amener à découvrir plus facilement notre mission de vie, à pacifier les blessures de notre passé et vont nous permettre d’apprendre à créer notre futur harmonieux.” Hélène Laporte pour Science of Eden (Centre de diffusion des enseignements et des technologies de Grigori Grabovoï)

Allez c’est parti. Je reviens vers vous dans quelques jours si cela vous intéresse de suivre mon expérience 🙂

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Ajna - Glande Pinéale Articles

Pourquoi et comment détartrer votre glande pinéale

Pourquoi et comment détartrer votre glande pinéale

La calcification fait en sorte que les cristaux dans la glande s’attachent aux dépôts de minéraux. Ainsi, les cristaux ne peuvent plus exercer leur propriété de piézoluminescence.

Les effets de la calcification sont la dépression, l’anxiété, la boulimie/anorexie, la schizophrénie et d’autres formes de maladies mentales. La calcification vient aussi perturber la sécrétion de la mélatonine.

La mélatonine, souvent dénommée hormone du sommeil, est surtout connue comme étant l’hormone centrale de régulation des rythmes chronobiologiques, et d’un certain point de vue, de pratiquement l’ensemble des sécrétions hormonales.(…) Elle est sécrétée par la glande pinéale en réponse à l’absence de lumière. La mélatonine semble avoir de multiples fonctions, autres qu’hormonales, en particulier comme antioxydant (anti-cancer). Elle semble aussi jouer un rôle dans le système immunitaire.

 

 

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L’image nous montre le dieu ailé sumérien Enki avec un cône de pin dans la main. On retrouve dans beaucoup de cultures la symbolique du cône de pin représentant la glande pinéale (siège de l’âme).

La calcification de la glande pinéale est causée principalement par le fluorure qui circule dans notre sang.

Le fluorure vient des pâtes à dents, de l’eau du robinet et de l’eau en bouteille, dans certains aliments, des médicaments psychotropes comme le prozac qui est aussi appelé fluoxétine et qui contient 30% de fluorure. La glande pinéale contient la plus grande concentration de fluorure dans le corps.

Calcification … ?

Malheureusement, pour la plupart des gens, la glande pinéale est fortement entartrée. Tant et si bien qu’elle apparait comme un morceau de calcium lors d’une IRM. Alors, quelle est la calcification, et quelles en sont les causes?

La calcification est l’accumulation de cristaux de phosphate de calcium dans diverses parties du corps. C’est un processus naturel causé par les nanobactéries primaily. les Nanobactéries sont des microorganismes qui forment de minuscules coquilles de phosphate de calcium autour d’eux, essentiellement pour se protéger de votre système immunitaire. Il ressort de la dernière recherche que cela peut être la cause de la plupart des maladies.

De l’arthrite, aux accidents vasculaires cérébraux, du cancer aux maux de dos. Grâce au système alimentaire SAD (standard régime américain) horribles, la plupart des gens sont exposés à beaucoup plus de ces organismes que jamais, et que non seulement, sont calcifiées par d’autres moyens aussi.

Eau, alimentation et mode de vie

Les principales causes de calcification comprennent:

  • – Fluorure (magnétiquement attiré par la glande pinéale où il forme des cristaux de phosphate de calcium plus que partout ailleurs dans le corps).
  • -Suppléments de calcium (de loin la principale cause de la calcification. Si votre médecin vous recommande de les prendre, je vous recommande d’arrêter immédiatement)
  • – D’autres halogénures comme le chlore et le bromure.
  • – Le calcium dans l’alimentation (presque tous les aliments transformés contiennent une certaine forme de calcium0.
  • –  Eau du robinet (l’eau du robinet est rempli avec de substances calcifiantes).
  • – Eau de source (distillée elle peut être nocive à long terme (même si c’est beaucoup mieux que l’eau du robinet).

La détox de la glande pinéale

Options de détoxication naturelles pour du fluorure de sodium et les métaux lourds

Zéolite

Les zéolithes sont des minéraux présents dans les fonds marins anciens et de roches volcaniques. Les molécules en forme de nid d’abeilles de zéolite ont la capacité de capturer les toxines métalliques de tous types et en toute sécurité les transporter hors du corps. (Pas tous les produits de zéolite sont égaux, alors assurez-vous d’obtenir une grande qualité.)

Argile de bentonite

Comme zéolite, de l’argile bentonite contient des ions négatifs qui attirent les ions positifs de toxines et pathogens. Vous pouvez faire tremper dans un bain d’argile ou de prendre l’argile bentonite de qualité alimentaire à l’intérieur. (Notez que les bains d’argile ne sont peut être pas la meilleure option si vous avez une maladie cardiaque.)

Chlorella

Une série d’études cliniques montrent que la qualité fibreuse de la chlorelle se lient aux métaux toxiques et les débusque. Vous pouvez prendre des capsules ou faire des smoothies avec de la poudre de chlorella. Le goût est assez agréable.

Coriandre

Cette plante polyvalente culinaire, utilisé couramment dans la cuisine mexicaine contribue également à l’élimination des métaux lourds. Pesto à la coriandre a été utilisé efficacement pour la thérapie de chélation par beaucoup.

Magnésium

Le magnésium possède la capacité d’inhiber l’absorption de fluorure dans nos cellules, donc lors de l’embarquement sur un detox de métal et de fluorure, assurez-vous que vous avez trouvé une bonne dose quotidienne de magnésium à partir d’une source de grande qualité, comme cela facilitera grandement vos efforts désintoxication.

Homéopathie

En prenant également homéopathique Boiron Borax 30, à granules, 80 ct -. 5 pilules http://amzn.to/x5mqppjour 3x désintoxication de la glande pinéale.

En conséquence, le nettoyage de votre corps de la pollution par les métaux lourds et le fluorure de sodium ne sera pas seulement capable d’aider à normaliser votre production de mélatonine, mais permettra également d’améliorer votre fonction cognitive et augmenter vos niveaux de vitalité.

Platon, Descartes, Pythagore et bien d’autres pensaient que la glande pinéale était le siège de l’âme.

La glande pinéale a la forme d’un cône de pin, d’où son nom qui vient du latin « pinea » qui veut dire « pin ».

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Techniquement, la glande pinéale ne fait pas partie du cerveau. Elle n’est pas protégée par la barrière hémato-encéphalique, en fait, elle reçoit plus de sang que tous les autres organes à l’exception des reins. Comme elle n’est pas protégée du flux sanguin, elle accumule des dépôts minéraux, aussi appelé « sable cérébral ». Avec le temps, ce sable s’accumulation et produit la calcification de la glande, rendant opaque et visqueux le fluide à l’intérieur de la glande.
Il est aussi connu que l’intérieur de la glande pinéale contient des cellules photosensibles (qui perçoivent la lumière). On sait aussi que les mini cristaux à l’intérieur de la glande ont une propriété de piézoluminescence. Ceci signifie que lorsqu’on applique une pression sur les cristaux, ils émettent de la lumière. On ne sera pas surpris d’apprendre que, dans la mythologie védique, on associe cette glande au troisième oeil. Notez que la glande pinéale gère les cycles d’éveil et de sommeil.

On a découvert récemment qu’en fait la glande pinéale est un puissant récepteur, mais que ce sont d’autres zones du cerveau qui décodent les informations reçues, telles que le cortex frontal cérébral. Sans cette interaction, les informations reçues ne pourraient pas être comprises. Elle joue un rôle vital au niveau du sommeil et de la sexualité et donc de la reproduction.

La glande pinéale capte ainsi des vibrations du spectre électromagnétique traduisant nos émotions, nos pensées ou celles des esprits, voire celles d’autres personnes au moyen de la télépathie. Ce qui a éveillé l’intérêt des scientifiques qui ont mis en lumière des fonctions en relation avec la physique et les phénomènes paranormaux… tels que les transes médiumniques .

Les médiums captent un grand nombre d’informations. Ces informations sont enregistrés par le thalamus (zone du cerveau qui enregistre les activités sensorielles). La personne ne comprend pas beaucoup les choses qu’elle capte mais, son corps y réagit. (La liste des réactions peut être vaste, par exemple : en présence d’une âme errante, avoir une sensation dans la nuque, maux de ventre, emballement du coeur, fatigue soudaine, sensation de vertige ..)

Lors des états de dédoublement que vit le médium, celui ci développe une plus grande activité : il capte les sensations d’autrui. Il est parfois difficile pour le médium, de distinguer son sentiment individuel de celui qu’il a pu capter. Des personnes peuvent alors être confuses quant à leur propre identité, surtout si elles ignorent être médium. Ce sont généralement des personnalités critiques, autocritiques, anxieuses voire dépressives.

Nazis, fluor et contrôle des cerveaux

Et vous pensiez que tout ce que le gouvernement fait, il le fait pour vous ? Vous devriez changer d’idée.…..La première fois que de l’eau potable a été fluorée, c’était dans les camps de concentration de l’Allemagne nazie. La Gestapo ne pensait pas aux présumés bienfaits du fluor sur les dents des enfants. Du fluorure de sodium était ajouté à l’eau afin de rendre les humains stériles et forcer les prisonniers des camps de concentration à demeurer dociles. (Source : The Crime and Punishment of I.G. Farben – Le crime et la sentence de I.G. Farben de Joseph Borkin).

L’ingestion régulière de quantités infinitésimales de fluor réduit la capacité d’une personne à résister à la domination en empoisonnant et en intoxiquant lentement une certaine partie du cerveau. Cette personne devient donc soumise à la volonté de ceux qui désirent la gouverner.  » (Une lobotomie légère et pratique).

L’eau n’est pas fluorée pour améliorer la santé dentaire des enfants. Si c’était la raison véritable, cela pourrait se faire beaucoup plus facilement à des coûts moindres et de façon plus efficace. La fluoration de l’eau a comme but véritable de contrôler et dominer la population plus facilement et de lui faire accepter la perte des libertés individuelles.

Quand les Nazis d’Hitler ont envahi la Pologne, les États-majors allemand et russe ont discuté de science et de guerre et ils ont échangé des idées, des plans et du personnel. Le projet de contrôler la masse par la contamination de l’eau a particulièrement intéressé les communistes russes qui y voyaient une façon idéale d’imposer le communisme au monde entier.

Selon les chimistes, les mélanges d’eau et de fluorure de sodium sont les plus efficaces et les moins coûteux pour tuer les rats : sans couleur, sans odeur, sans goût ; pas d’antidote, pas de remède, pas d’espoir : une extermination complète et instantanée des rats.

« La fluoration de l’eau peut être un suicide national lent ou une liquidation nationale rapide. C’est de la folie criminelle. Une trahison ! » E.H. BRONNER, Ingénieur chimiste, Los Angeles.

Alimentation et glande pinéale

Notre glande pinéale autrement connue comme notre glande maîtresse, régit notre troisième œil et est le centre de la conscience psychique dans l’esprit humain. Elle est de la taille d’un pois et se situe dans une grotte située derrière la glande pituitaire. Elle produit naturellement une hormone mélatonine qui régule appelé les rythmes du corps quotidien qui traitent directement avec le jour et les cycles de la nuit.

Développer et élargir la fonction et l’énergie de votre glande pinéale est extrêmement important car elle affecte tous les systèmes de votre corps physique et a le potentiel de déterminer l’expansion ou la contraction de votre conscience psychique.

La lumière du soleil est extrêmement importante pour la glande pinéale. Le soleil est une forme de nourriture. La lumière du soleil peut être prise et digérée par les yeux, peau, cheveux, poils de nez et les oreilles et doit être consommé pendant au moins 30 minutes par jour.

Les légumes, ainsi que les algues séchés au soleil contiennent des quantités élevées de vitamine D etde nombreuses vitamines du groupe B et de l’iode. Les légumes à feuilles vert foncé sont extrêmement nourrissants pour la glande pinéale. Cette glande absorbe les propriétés de la couleur verte des légumes et les distribue à des systèmes appropriés de l’organisme afin que le corps soit bien nourri.

Les bons aliments peuvent influer positivement sur votre glande pinéale, mais vous pouvez également activer votre glande pinéale en mangeant plus d’aliments crus, ou en achetant une machine à ozone pour votre maison qui aidera à la purification de l’air ambiant.

La sérotonine

Autant que la glande pinéale besoin de lumière, elle doit également produire de la sérotonine suffisante pour être activée afin qu’elle puisse augmenter sa conscience psychique. Or, la sérotonine est produite lorsque le cerveau est endormi. Il est donc conseillé de dormir dans une chambre très sombre, car c’est extrêmement nourrissant pour la pinéale…

Un déséquilibre de sérotonine peut provoquer un état anxieux, et un goût excessif pour le sucré.

Pour synthétiser de la sérotonine, nous avons besoin d’un acide aminé de l’alimentation, le tryptophane. Nos cellules nerveuses le transforment en sérotonine. Plus il y en a, plus les neurones produisent de sérotonine. Mais pour des raisons d’ordre génétique, ou parce que l’alimentation n’apporte pas toujours suffisamment de tryptophane, la synthèse de sérotonine peut être insuffisante, entraînant une dépendance vis-à-vis du sucré, qui toucherait une personne sur trois. Ceci se traduit par de l’irritabilité voire de l’agressivité, des états de déprime, des difficultés à trouver le sommeil, et une attirance excessive pour le sucré qui toucherait une personne sur trois.
Les aliments riches en tryptophane sont souvent associés à des graisses, les femmes ont tendance à les écarter spontanément de leur régime. Elles ont aussi tendance à diminuer les calories qu’elles ingèrent. Cela n’est pas une solution.
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Les aliments qui produisent naturellement la sérotonine sont:

Les amandes, les bananes, les piments, le riz, les pommes de terre, les aubergines, les avocats, les haricots, les lentilles, et certains fruits comme les tomates, les dattes, les noix et les prunes mais aussi les acides gras de la famille Oméga 3 qui facilitent l’action de la sérotonine au niveau cellulaire. On les trouve dans les huiles de colza,de lin, de canola, de noix, dans les graines de lin et de chanvre etaussi les poissons gras (maquereau, sardine, saumon).

Consommer des produits animaux, les viandes surtout et le poisson, possèdent souvent des quantités élevées de mercure…

En conclusion

Pour finir brièvement sur la glande pinéale, celle-ci semble être notre lien avec l’univers, la « matrice », le « champs » comme le nommait Einstein, ce champs qui fait de nous ce que nous sommes : UN.

C’est d’ailleurs à travers cette glande pinéale que nous allons chercher nos souvenirs. Nous découvrons ainsi que notre mémoire n’est pas située dans notre cerveau ! Mais que celui-ci n’est qu’un récepteur telle une antenne radio très perfectionnée qui va chercher (entre autres) nos souvenirs, dans le « champs ». Ce champs, cette map universelle qui nous lie tous les uns les autres…Le WEB morphogénétique ….

L’homme est donc capable d’intéragir avec ce champs à de nombreuses occasions : télépathie, télékynésie…

La théorie de Gregg Braden veut que nous ne sommes pas (comme il était considéré jusqu’à présent) juste des observateurs des évènements qui surgissent dans nos vies, comme si le destin l’avait décidé pour nous, mais que la perception que nous avons, avec notre vue, notre toucher, notre goût, notre odorat ou notre ouïe n’est que la perception du monde que nous avons décider d’ériger devant nous. Nous devenons donc des « participateurs ».

Le système de contrôle du mental humain

Certains diront que cela a un rapport avec les lois de l’attraction. En fait, oui…. et non. Car la loi d’attraction est avant tout une façon de nous amener à construire notre monde physique grâce à notre comportement et nos pensées. Mais, d’un point de vue social, la loi d’attraction est, en effet, redoutable.Car, si le principe qui implique le champs morphogénétique va jusqu’à la matérialisation de notre environnement par notre seule volonté, il oublie que nous sommes en fait tous téléguidés sous l’effet de lignes de forces ou lignes de prédation qui nous relient certains à d’autres, en fonction des résonances de leurs mémoires cellulaires cristallisées…

« Ces champs de force de l’enfermement sont entretenus, comme vous le savez, hélas, par la pensée humaine, par les croyances, par tout ce que vous créez, par l’animosité, par le manque d’humilité, par le manque de simplicité, par la peur, par le besoin de contrôler les autres ou l’autre dans sa famille, son mari, sa femme, ses enfant« . ( O.M. AÏVANHOV, canalisé par Jean Luc Ayoun le 4 septembre 2012)

Le système de contrôle du mental humain est entretenu par l’ensemble des croyances, par le karma, par l’ADN, mais aussi par notre comportement. Et sommes-nous toujours complètement conscient de ce comportement ? Nos pensées ne sont pas les nôtres … !

Le détartrage de la glande pinéale semble être la solution la plus simple pour sortir du « Pilotage Automatique » auquel nous sommes soumis par nos choix d’incarnation. Et « ils » le savent, sinon on aurait pas de fluor dans l’eau du robinet …. !

« En septembre 2005, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec demandait à toutes les villes de la province de fluorer l’eau potable, soi-disant « pour prévenir la carie dentaire chez les enfants défavorisés >>

Et la France n’est pas en reste, bien au contraire !

Modes d’élimination du fluorure de l’eau selon 

  • Inverser la filtration par osmose
    Il est utilisé pour purifier plusieurs types d’eau embouteillée (pas tous), de sorte que certaines eaux en bouteille sont non fluorées. Systèmes à osmose inverse sont généralement inabordables pour un usage personnel.
  • Défluoruration alumine activée filtre
    Ces filtres sont utilisés dans des endroits où la fluorose est répandue. Ils sont relativement coûteux (prix le plus bas que j’ai vu était 30/filter $) et nécessitent un remplacement fréquent, mais qui offrent une option pour la filtration de l’eau à domicile.
  • Distillation de filtration
    Il existe dans le commerce des filtres disponibles de distillation qui peuvent être achetés pour enlever le fluor de l’eau. Sur le même sujet: Quand on regarde l’eau en bouteille, garder à l’esprit que «l’eau distillée» ne signifie pas qu’un produit est adapté à l’eau potable et d’autres impuretés indésirables peuvent être présents.

Ce qui n’enlèvent pas le fluor

  • Brita, Pur, et la plupart des autres filtres.
    J’ai vérifié la description des produits sur les sites Web des entreprises pour confirmer que le fluorure est laissé dans l’eau.
  • D’ébullition de l’eau
    Il portera le fluorure plutôt que de le réduire.
  • La congélation de l’eau
    l’eau de congélation n’affecte pas la concentration de fluorure.

Mesures pour réduire l’exposition au fluorure

  • Ne prenez pas de suppléments de fluor.
  • Lisez les étiquettes sur les boissons en bouteille.
  • Utiliser un dentifrice non fluorées.
  • Évitez de boire du thé rouge ou noir.
    Il ya de nombreux bienfaits associés à des composés chimiques présents dans le thé, mais cela peut être une boisson à éviter si vous avez besoin pour réduire votre consommation de fluor. Noir et thé rouge proviennent de deux types différents de plantes, mais les deux feuilles contiennent naturellement des quantités élevées de fluor.
  • Méfiez-vous des conserves de poisson et des produits alimentaires en conserve.
    Le fluorure peut être utilisé comme conservateur.
  • Éviter les articles contenant de sel gemme rouge ou noir.
  • Éviter l’utilisation à long terme du médicament qui contient du fluor.

La glande pinéale est la clé vers l’illumination

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serotoni.jpgLe chercheur en psychédélique Dr Rick Strassman a expliqué comment la glande pinéale « est plutôt active pour synthétiser des composés relatifs à la sérotonine, un important neurotransmetteur dans le cerveau. Les neurotransmetteurs sont les messagers chimiques permettant la communication entre les cellules nerveuses individuelles.

La plupart des drogues psychédéliques typiques, tels que le LSD, la mescaline, la psilocybine et le DMT sont actifs dans les régions du cerveau également affectées par la sérotonine. De plus, la plupart de ces drogues sont similaires dans leur structure chimique à la sérotonine.

Pour finir

Pour détartrer votre pinéale, mangez sain et cru, plutôt végétarien, usez du coriandre dans toutes vos salades assaisonnées à l’huile de colza et buvez du thé vert , mangez du curcuma.

 

SOURCES : Station 1022.net & GlobalChange.com

http://homme-et-espace.over-blog.com/

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A l’Aube de 2021……

A l’aube de cette nouvelle année j’avais à cœur de revenir vers vous pour vous souhaiter du plus profond de mon âme un beau passage vers cette nouvelle année que j’aspire pour chacun, plus évolutive, éclairante, rassurante.

Je nous souhaite qu’elle se vive dans plus de joie, de santé, de lien, de liberté. Que les mois à venir nous permettent d’exprimer et de vivre librement notre Vérité dans le respect de celle de l’autre.

2020, année de chaos, nous a donné à chacun l’opportunité de faire face à nos peurs, colères, incohérences, individuelles et sociétales, à nous poser les questions que nous repoussions au plus profond de nous, trop habitués que nous étions à fonctionner dans nos habitudes qui nous procuraient une forme de sécurité.

Aujourd’hui la vie nous appelle à être plus authentiques, à reprendre la responsabilité de nos vies en ne comptant plus uniquement sur les instances auxquelles nous avions remis notre pouvoir mais bien en nous questionnant sur nos incohérences, celles de la Société que nous avons bâtie, sur ce qui nous importe profondément et en devenant acteur d’un changement inévitable en continuant d’accepter ou non ce qui nous est proposé.

Tout ceci est un mouvement intérieur révolutionnaire en quelque sorte, il nous demande de transformer profondément toutes nos habitudes, schémas, croyances pour plus d’authenticité, de respect de la Vie. En un mot, de fonctionner à partir des aspirations de notre cœur ou de notre âme et non plus en mode réflexe à partir de nos peurs et de notre mental. Et par là même, de nous maintenir le plus possible présent dans l’instant, en conscience. Ceci, pour un monde meilleur, pas seulement pour nous, mais pour toute l’humanité, pas seulement d’un point de vue matériel, mais par la valeur que nous donnons à la Vie tout simplement et en la reconnaissant dans tout ce qui est.

Bienvenue donc dans l’Ere du Verseau qui commence à se matérialiser.

Toutes les difficultés vécues cette année ne vont certes pas disparaitre immédiatement et nous aurons probablement encore à faire face à de nouveaux challenges en 2021 et dans les années à suivre. Il est cependant important de ne jamais perdre de vue les aspects positifs que cette crise nous apporte car il y en a. Elle nous oblige à retrouver l’honnêteté, l’authenticité, à aller là où ne serions pas allés nous questionner, nous transformer. La vie va, dans ce moment de transformation, pousser nombre d’entre nous à entreprendre ce que nous n’aurions jamais tenté dans le confort de notre vie d’avant. La perte crée un vide que nous pouvons remplacer par du nouveau et va probablement solliciter notre créativité et notre solidarité plus que jamais.

Je vous souhaite donc le meilleur pour cette année 2021. Le meilleur dans la découverte de ce qui est important pour vous, le meilleur pour le mettre en place, vous guider, vous rassurer lorsque cela prend du temps, le meilleur dans vos relations même si cela induit des séparations, des éloignements, le meilleur pour votre santé en modifiant peut-être certaines habitudes, en prenant tout le repos dont vous avez besoin et en vous faisant accompagner si cela s’avère nécessaire. Prenez soin de vous dans tous les aspects de votre Etre, physique, émotionnel, spirituel. Ils sont inter-reliés et la santé est holistique, chacun de ces aspects nécessite votre attention.

Plus que jamais cet équilibre nous sera nécessaire pour être inspirés, guidés vers les choix de vie qui seront les plus justes, les plus harmonieux pour notre évolution individuelle et collective.

Je nous souhaite de mettre à jour et oser être ce que nous sommes au plus profond de nous, de réjouir notre âme en libérant cette essence dans la Foi en la Vie, dans la Joie d’Etre dans cette époque formidable de ce tournant de l’Humanité, dans la Solidarité afin de nous soutenir mutuellement dans les difficultés de cette transformation et les tâtonnements que cela implique.

Je reste à votre disposition en tant qu’âme qui a cœur d’aider chaque âme qu’elle croise et qui le souhaite, en tant que thérapeute (même si ce terme ne me semble plus adapté) pour vous aider physiquement, émotionnellement et spirituellement, vous inspirer sur ce chemin de retour à vous même, et enfin et surtout en tant qu’amie pour grand nombre d’entre vous qui me lisez aujourd’hui.

Je vous souhaite le meilleur, de tirer le meilleur de chaque évènement à venir en restant dans l’instant, en gardant la Foi que tout est juste, tout est expérience pour votre évolution. Nous avons déjà tout en nous pour y parvenir.

Je vous souhaite une merveilleuse évolution

Avec tout mon amour

Bien sincèrement.

Catherine

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Propositions Kundalini Yoga – Saison 2020/2021

Pour cette nouvelle saison 2 propositions.

Des Challenges comme les années passées, avec un cours toutes les 2 semaines le mercredi matin et le jeudi soir.

Cours d’essai le mercredi 2 sept 10h00-12h30 et le jeudi 3 sept 19h00-20h30. Participation 5€

NOUVEAU.  les cours seront également transmis via une application en ligne pour les cours à distance si demande. 

Des Ateliers, une fois par mois le samedi matin.

Kundalini Yoga Catherine Le hen Nantes

Thème des  CHALLENGES 

Prendre soin de soi, se comprendre au travers des Saisons et des organes en lien avec chacune d’elles.

Les saisons sont des alternances de Yin et de Yang. Chacune d’elle nous prépare à la suivante en travaillant sur nos organes, sur nos émotions. Lorsque nous suivons  ce rythme, que le corps et l’esprit suivent ce courant nous avons alors toutes les chances de rester en bonne santé.

Reconnaître en nous le rythme des saisons, prendre conscience et appliquer les qualités, les aspects, les enseignements de chacune d’elle nous permet non seulement  de bien nous adapter, de nous renforcer, de garder une bonne santé mais également de prendre du recul, de reconnaître et d’accepter certains passages inévitables de tri, de nettoyage pour nous alléger afin de continuer du bon pied.

Au fil des saisons et des challenges, nous observerons la façon dont les différents systèmes de notre corps (respiratoire, immunitaire, circulatoire, nerveux..) peuvent être affectés par l’énergie de la saison, l’organe le plus concerné, l’émotion qui s’y rattache, comment adapter nos comportements au quotidien (pensées, actions, alimentation) pour évoluer en harmonie avec les éléments qui nous entourent tout au long de l’année.

Tarif :

  • 20 € le cours de 1h30,
  • 50 € challenge complet (3 cours) 
  • 45 € 2 cours du challenge + pdf
  • 320 € l’année (7 challenges).


Prévoir tenue confortable, tapis ou serviette de bain, bouteille d’eau, plaid, coussin.

Voir Agenda par dates, saison et organe

Kundalini Yoga 10 corps catherine Le hen

ATELIERS MENSUELS SUR LE THEME DES 10 CORPS

“Les gens s’identifient avec leur corps physique et pensent à eux au mieux comme un corps physique et un esprit.

La vérité est que l’être humain est composé de 10 corps : 1 corps physique, 3 corps mentaux et 6 corps d’énergie.

“La racine de toute maladie existe d’abord dans un de ces corps avant qu’elle ne se manifeste à l’extérieur.”

Les dix corps sont des aptitudes puissantes du psychisme avec chacun des dons spécifiques qui se manifestent quand ils sont forts et certaines faiblesses qui font surface quand elles sont faibles. Votre Calibre se détermine par l’équilibre de vos dix Corps.

Vous pouvez renforcer n’importe lequel des Dix Corps en développant la capacité à identifier quel corps est déséquilibré et ensuite en pratiquant la technologie adéquate (posture, kryia, mantra, méditation….”

Yogi Bhajan

Je vous invite donc à cette exploration corps par corps, mois après mois.

Mieux vous connaitre, rétablir votre énergie, devenir radiant.

Au préalable de ces ateliers sur les 10 corps, je vous convie à un atelier de préparation durant lequel nous calculerons en Karam Kryia*, les corps qui vous concernent plus particulièrement en fonction de votre date de naissance

*Karam Kryia  : numérologie appliquée basée sur le système des 10 corps spirituels, tels qu’ils ont été enseignés par Yogi Bhajan.    

Ces ateliers de 2h30 se dérouleront le samedi matin, 1 fois par mois.

Ils comprendront une présentation(ses caractéristiques), du corps concerné, sa lecture dans votre incarnation (s’il est sorti dans votre configuration lors de l’atelier de préparation), une sélection d’outils adaptés à chaque corps (postures spécifiques, kryia, méditations); Remise d’un support PDF de l’ensemble de la pratique

  • Atelier de préparation : 45 €

  • 10 ateliers : 500€ payables en 5 chèques        450€ si paiement en 1 chèque

Voir Agenda Ateliers 10 corps

N’hésitez pas à me contacter pour plus de renseignements

Places limitées.                  Réservation au 06 24 78 05 56 ou ici 

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Vidéos de séries et de méditations adaptées à la période du confinement pour tous

Le confinement se prolonge encore pour de longues semaines. Il est essentiel de commencer ou de continuer à prendre grand soin de notre santé, de bouger notre corps mais également d’observer et gérer nos émotions.

Que vous le vouliez ou non, cet isolement forcé (une fois les tâches et activités quotidiennes et pratiques réalisées), nous pousse à ralentir, à nous poser des questions et à nous intérioriser .

Il devient inévitable :

  • de devoir à un moment faire face à nos freins, peurs, angoisses, tristesses qui demandent à être libérer.
  • de calmer le mental et de nous centrer dans l’instant présent qui reste la seule certitude que nous ayons.
  • d’accepter ce qui est, le vivre dans l’instant et entrer dans la confiance que la sécurité et la liberté ne peuvent se trouver qu’en nous.
  • d’accepter que ce que nous vivons est juste et que nous avons en nous toutes les ressources pour le traverser dès lors que nous prenons la responsabilité de ce que nous vivons.
  • de faire le deuil du passé, et d’accepter les changements auxquels notre Etre aspire pour nous adapter à cette nouvelle Ere/Terre qui arrive et qui nous demande de passer du Faire à l’Etre.

J’ai le plaisir de vous donner accès à des vidéos que j’ai réalisées en direct sur Facebook et également en privé.

C’est différentes vidéos accessibles à tous, adultes, enfants, débutants ou pratiquant,  vous proposent des séries, exercices, méditations en Kundalini Yoga pour rester en pleine forme et gérer les différentes émotions que vous pouvez traverser durant ce temps de confinement.

 

Vous retrouverez ces vidéos sur la chaîne YouTube Catherine Le Hen que je viens de créer ainsi que sur la page de mon site Bien vivre le confinement.

N’hésitez pas à vous inscrire sur ma page YouTube afin de faire tourner l’information et à me soumettre les demandes particulières que vous auriez si vous ne trouviez pas dans ces vidéos la réponse à vos problématiques.

Sachez que j’ai décidé de continuer à proposer mes challenges en Kundalini Yoga en live et sur inscription (1 cours tous les jeudis soirs et un PDF pour pratiquer à la maison) que vous retrouverez sur les événements de ma page Facebook et sur ma page Agenda Challenge Kundalini Yoga

De plus, après avoir consacré ces 1ères semaines à mon travail intérieur et à quelques soins, je me sens prête à vous proposer mes services en soins énergétiques et de guérison à distance, sur rendez-vous pour vous accompagner durant les prochaines semaines.

Je reste à votre disposition et vous souhaite du plus profond de mon cœur de vivre au mieux ces prochaines semaines et de réussir à en faire, si cela est votre souhait, une opportunité de transformation et d’évolution.

Bien à vous

Catherine Le Hen / Param Bhagti K.